Sujet: Mr le professeur Morlaix de son état
Sam 11 Aoû 2012 - 1:13
Votre personnage
Nom: Morlaix
Prénom: Maël
Surnom: Le prof
Age: 27 ans
Sexualité: Hétérosexuel épanoui
Métier: Professeur universitaire de littérature contemporaine
Groupe: Peuple
Rang désiré: Eh Professeur attendez !
Caractère: (5 lignes minimum)
Il est volontaire. Dans la famille c’est un peu la base. Il n’y a pas de faignants chez les Morlaix. D’ailleurs c’est le plus attentionné quand il s’agit de s’occuper des anciens ou des bambins. Cogner ça n’a jamais été son truc. Je me suis toujours dit qu’il était fait pour le social.
Il est bordélique. Et pas mal tête en l’air. Ce qui fait qu’il perd souvent ses clés, ses papiers, le genre de choses qui peut vous faire perdre pas mal de temps et de patience. La seule exception c’est le bureau où sont ses cours. À croire qu’il n’y a que son boulot qui mérite son attention. Mais on l’aime malgré ça.
Il est pacifique. La tactique de l’autruche ou la fuite en douce comme on dit, c’est un peu sa spécialité, pour éviter d’entendre les remontrances familiales.
Il est bon cuisinier. Disons que c’est son dada depuis qu’il a emménagé en ville. Il aime bien organiser des repas avec les collègues, les diners pour les jeunes femmes qu’il a pu croiser.
Il est pudique. Pas tant du corps. C’est plus concernant son enfance, son passé. Il n’aime pas tellement en parler. C’est comme s’il avait honte de venir de son petit bled perdu. Il ne faut pas lui en vouloir. Son rêve c’était d’écrire une thèse sur la poésie antique.
Physique: (5lignes minimum)
Il présente bien. Marqué par les premières remarques au cours de sa formation, Maël a mis un point d’honneur à être bien habillé. Il préfère remonter les manches de sa chemise que d’en porter une avec manches courtes. S’il proscrit la cravate c’est uniquement parce que ça lui donne l’impression s’étouffer. Au printemps, dans les amphis, les étudiantes adore le voir entrouvrir sa chemise.
Les cheveux parfois longs, mais toujours peignés. Souvent la barbe, voir même le bouc qui l’aident à le vieillir. Ce qui, face à une classe de jeunes étudiants citadins, n’est pas négligeable.
Il a gardé de sa jeunesse un goût de l’effort et se défoule en faisant de la course à pieds quasiment quotidiennement. Ça, plus une alimentation équilibrée, le maintienne en forme. Il n’a donc pas encore perdu le carré de ses épaules… ce qui le complexe.
La peau ferme, prend le soleil dès les premiers rayons puisqu’il apprécie de travailler dans les rares espaces de verdures de la ville. Cependant il se met rarement en short trouvant le duvet de poils sur ses jambes un peu tut l’amour.
Histoire: (15 lignes minimum)
- Citation :
- « Monsieur Morlaix ? Le quel ?
Oh ça fait bien cinq six ans qu’il a quitté le comté. Il est parti étudier à la ville j’crois bien. Faut dire travailler sur la cote ça tente pas trop les jeunots de nos jours. Ils veulent les beaux habits et l’électricité. Depuis le mariage de madame et du de Plaisant y croivent tous qu’ils seront mieux là-bas. Mais à la ville faut en trouver du travail ils sont marrants eux. Et nous on commence à manquer de bras. M’enfin.
Maël… C’est prof qui voulait être. Avec les livres tout ça. L’instituteur a bien dit qu’il était doué quand il était petiot. Il vous passez les foins assit, dans la grange, à tourner des pages et des pages. Je me souviens que son père avait peur pour lui. Comment qu’il voulait faire sa vie avec des bouquins ? Les Morlaix ont même pas le sou pour racheter une carriole ?
Me souviens plus trop. Je crois que c’est la vieille qui a fait son coup en douce avant de clamser. Vous voyez elle… il était son préféré depuis le début. Alors l’argent de côté c’était pour lui. Il est allé à Vincy à la grande école. La mère nous bassinait pendant trois jours, dés elle reçoit de ses lettres. Il le fait depuis tout ce temps encore. Un bon garçon et pas con. Il a emménagé à la capitale… peut-être bien à l’été 98. C’est allé vite. »
- Citation :
- - « Morlaix ! Bien sûr que je le connais.
Il a fait ses premières armes avec nous. Les étudiants l'aime bien. Il a la vocation comme on dit. Je l'ai vue plus d'une fois organiser des séances de révisions pour aider ses élèves. S'il reste comme ça il va faire une belle carrière. Il m'écris encore parfois pour me demander des conseils. C'est cette capacité à évoluer et à améliorer sa façon de travailler qui peut l'emmener loin. J'espère que sa mutation sera acceptée. Cela dit je plaint la fille qui va vouloir l'avoir pour lui. »
- Citation :
- « Vous voulez que je vous parle de Maël c’est ça ?
On s’est croisé, un soir, dans un petit bar de l’avenue de la Reine. Il était là, à sa table avec un sandwich et un énorme paquet de copies. Je l’ai trouvé craquant avec son stylo coincé derrière l’oreille et sa nuque courbée. Il avait l’air complétement coupé du monde. Je l’ai abordé.
Il venait de trouver un poste à l’Université. Ça le passionnait. Il avait un petit appartement pas loin du cinéma. Il m’a offert un verre, des fleurs, il était charmant. On s’est côtoyé pendant environs trois mois. Et puis j’ai été engagée en tant qu’infermière pour une Mission en Nouveau Monde. Je repense souvent à lui. Je me dis que ça aurait pu être le bon. »
- Citation :
- - « Quoi le cousin ?
Je ne l’ai pas vue depuis des semaines. Depuis l’attaque à la Cathédrale. Il s’est mis en tête d’écrire un livre. Un livre sur quoi, ça personne ne sait. Je suis certaine qu'il va s'inspirer du meutre des deux jeunes filles. Il a largement de quoi faire un polar. Alors entre ses cours et son manuscrit on ne le voit plus trop. »
Vous
Nom/surnom: Prince
Avatar: Kim Rossi Stuart
Possibilité de prendre votre personnage en pv: Non
Qui vous a amené jusqu'à Ambrosia?: Google
Les mots de passe ont été envoyé?: Oui