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 La décadente

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MessageSujet: La décadente La décadente Icon_minitimeJeu 23 Déc 2010 - 19:24

Akeko Mayuri

Nom: Mayuri
Prénom: Akeko
Surnom: La Décadente
Age: 32 ans
Sexualité: Hétérosexuelle
Métier: Dresseuse des hommes
Groupe: Le Peuple
Rang désiré : Je suis l’opium.

Caractère:

Je suis la décadente. Je suis l’opium. Je suis la femme perdue et abandonnée. Je suis morte depuis des années. Je n’ai plus d’esprit, ni de raison, ni de logique, ni d’amour. Mon monde est l’opium et les hommes, les hommes qui se courbent sous ma force, sous mon autorité, sous mes exigences.
Je suis l’ombre de moi-même, si je fus une femme courtisée, aujourd’hui je ne recherche rien de plus qu’à finir ma vie comme je l’entends. Qu’importe que je me perde, que je me trompe, que je me meurs, je vivrais une vie peut être courte ou trop longue, mais je la vivrais comme je l’entends.
J’aime l’opium, j’aime sa fumée et ses rêveries. Comme j’aime soumettre les hommes, sans force, sans hurlement, simplement de ma prestance. S’ils ne courbent pas qu’importent ils le feront tôt ou tard, ses esclaves Ambrosiens sont désormais ma seule raison de vivre et mes jouets préférés.
Je vous respecterais si vous me respectez mais au moindre manquement de votre part alors je deviendrais la femme la plus violente que vous pourrez connaître.
Certains disent que je suis folle mais mon dédain et ma langueur font de moi une femme redoutable. Ce n’est pas la folie qui habite mon esprit, mais l’ombre de la mort physique. Je ne suis plus rien de celle que je fus, je me suis perdue dans l’opium, mon amant le plus langoureux. Je ne me juge pas au dessus des autres, je ne me juge pas mieux que les autres, mais si vous pensez être meilleur que moi alors tant pis. J’agirais avec vous comme je le fais depuis des années maintenant.

Oh ! Bien sur je suis parfois une femme beaucoup trop emportée. Mais me faire arriver à de telles extrémités est difficile. Sachez juste que je ne me laisse pas faire et si le sabre de mon père doit se retrouver sous votre gorge alors il y trouvera sa place.
Je puis être un mystère, je ne me dévoile jamais, de moi vous ne pourrez rien obtenir, je suis morte petit à petit et si mon corps s’enveloppe encore de vie, il n’essaye plus de mentir, mon esprit est mort.

Physique:

Certains hommes ne jugent que la beauté. Ils ne voient qu’elle, ils ne pensent qu’à elle et beaucoup m’ont déjà avouée que j’étais la beauté. Mais chacun voit comme il le désire, je ne suis pas belle. Je ne sais même plus ce que cela veut dire. J’ai depuis longtemps abandonné toute idée de le devenir, de me farder ou d’être la geisha que j’étais.
Peu m’importe les soieries, les belles choses, je m’en fiche. Mes cheveux sont la parure la plus simple et la plus importante. Ils ornent mon visage, mes yeux asiatiques, libres sur mes épaules, redressés de moitié en une attache négligée. Mes yeux ne se fardent plus de noir, mes lèvres restent pâles, mon teint blanc.
S’il faut se vêtir, ce sont quelques kimonos qui ornent mes courbes, dévoilant presque trop souvent mes cuisses et le dragon tatoué dessus. Un dragon sur ma hanche qui glisse jusqu’à ma taille et le bas de mon dos, le signe de la puissance, le signe de la force, le signe de ma décadence. Comme la brûlure qui le tâche aux creux de mes reines.
Parfois, en de rares occasions, je puis faire l’effort d’être présentable, pour la reine et pour son royaume. Mais je suis mal à l’aise.

De moi peut être vous ne retiendrez qu’une chose ma voix. Ma voix envoûtante, lascive grâce à l’opium et teinté légèrement d’un accent lointain. C’est la seule chose dont je suis fière de moi.

Histoire:

Je me nomme Akeko Mayuri et voici mon histoire.

Je viens d’un pays où les femmes possèdent une certaine emprise sur les hommes. Qu’elles soient servantes, épouses ou geishas. Je viens des « Contrées », je viens de Nihon, pays du soleil levant, je viens de Mahaï, la ville la plus importante de mes terres.
Je naquis un jour de pluie et mon signe fut l’eau. L’eau qui dévaste et qui ravage tout, qui trouve toujours un chemin pour suivre sont lit et qui affronte même la terre pour survivre. Je vins au monde sans douleur. Ma mère avait aimé un homme, un samouraï comme on dit et m’avait eu de lui. Sans mariage, sans fiançailles, sans espoir un jour d’être respecté. Mais les samouraïs ont un honneur et de par leurs mœurs intègrent une certaine candeur. Elle fut acceptée comme sa compagne et nous partîmes pour leurs villages, là haut dans les montagnes. Nous étions heureux, nous étions libres et je passais mes journées à rire loin d’Ambrosia et de ce monde entier qui lui était soumis. Malheureusement le prince de notre monde était un homme méchant, un homme sombre qui voulait à tout prix perdre la culture de son pays pour devenir véritablement ambrosien. La classe guerrière, qu’aurions nous fait avec une autre culture, qu’aurions nous fait avec d’autres mœurs. Nihon s’était soumis mais s’était protégé de l’influence décadente du monde dominateur. Nous étions heureux, les hommes et les femmes se respectaient et chaque classe, chaque membre de ce monde ne voulait pas changer ou perdre quoi que ce soit d’eux même. Il y eut un complot des samouraïs pour destituer le prince.

J’avais sept ans et j’étais en train de rire lorsque le prince est tombé. J’avais sept ans et deux mois lorsque les guerriers ont été décimés. Les gens de mon pays étaient heureux que leur mauvais prince soient morts, mais ils étaient obligés de juger les nobles guerriers comme des assassins. Ils les tuèrent un à un sous mes yeux d’enfant et ma mère me protégea jusque dans la mort. Ce fut armé du sabre de mon père que je défiais les chiens qui avaient osé nous attaquer. Ce fut ligoté que je retournais à Mahaï.
Je fus emmené au hanamachi, « ville fleur » le quartier des Geishas. Si en Ambrosia vous avez des bordels nous avons les salons de thé. Malheureusement votre monde use des femmes comme d’objet, elles écartent les cuisses et on ne leur demande pas d’être intelligentes. Alors que chez nous, les Geishas sont des femmes précieuses, belles et qui doivent exceller dans les arts traditionnelles. Vous me direz peut être qu’au final nous ne vallons pas mieux que des prostituées de votre monde, car nous sommes réservés à une clientèle aisée, nous ne sommes pas libres, mais nous, nous ne sommes pas là que pour être allongée.
Je fus emmené à l’Okiya Mayuri. Maison de femme où aucun homme n’est autorisé à entrer s’il n’est pas là pour nous rendre belle ou nous apprendre. Celle qui tenait ce lieu m’a sourit la première fois qu’elle m’a vu, elle était belle, vieillissante mais sublime. Elle m’a bercé dans ses bras, elle m’a raconté qu’elle m’avait racheté pour une raison, son frère était mort comme mon père. Je puis dire que j’ai eu de la chance dans mon malheur.

Je ne sais pas pourquoi Okasan « la mère », la cheffe de ce monde parvint à gagner mon cœur d’enfant, elle était sévère et autoritaire mais elle nous aimait moi et les autres filles de la maison. Nous étions sept. Moi et une autre petite fille, trois servantes, la mère et la geisha qui nous faisait vivre. Sans elle et son art, sans elle et l’argent qu’elle nous rapportait pour survivre nous n’aurions plus existé. Si notre métier est dédié à l’art, il coûte très cher, les kimonos, l’apprentissage et il nous contraint à être redevable à Okasan. Nous lui devons une dette, tout ce que nous faisons nous le lui devons. Mais en devenant Geisha on peut la rembourser et espérer être libre. Ce n’était pourtant pas le désir de Mehane, celle qui nous faisait vivre.
Très tôt j’ai pu apprendre d’elle. Elle s’occupait de nous comme si nous étions ses filles, elle qui ne pouvait en avoir et qui s’était résignée à rester Geisha tout au long de sa vie. Elle disait toujours que c’était dans l’Okiya que nous étions en sécurité. Je ne me doutais pas qu’elle avait tant raison.
Mehane était l’atotori, l’héritière, mère l’avait choisi pour reprendre la suite quand nous serions formés et qu’elle ne pourrait plus être la femme splendide qu’elle était. Ah la beauté se fane malheureusement et dans notre univers la beauté est un ordre.

Je travaillais d’abord comme servante. Mon âge empêchait de savoir si je serais belle ou non pour travailler comme geisha. J’avais pour rôle d’accompagner à l’entrée Mehane lorsqu’elle rentrait ou sortait de l’Okiya, je devais aussi l’assister et l’aider à se sublimer chaque soir. J’apprenais ainsi, sans rien dire, acceptant, il n’était jamais question de nos dettes, nous étions toutes sœurs. Il fallait simplement respecter l’autre et nous l’étions aussi. Mère y tenait et cette manière de pensée je l’ai toujours gardé.
Un an après mon entrée dans ce monde, je débutais mon apprentissage. Il était tard déjà mais j’étais prometteuse. Elles disaient de moi que j’avais une beauté mystérieuse. Je ne savais pas ce que cela voulait dire. J’appris l’art du shamishen, un instrument à trois corde, ce fut les doigts gelés et sous la neige que je dus m’exercer. Pour que mes doigts deviennent gracieux et léger sur les cordes. J’appris d’autres instruments mais le premier était mon préféré. J’y excellais.
J’appris le chanoyou, la cérémonie du thé, et l’ikebana, la composition florale, la poésie et la littérature. La danse aussi pour posséder un port gracieux et une démarche délicate mais on se rendit bien compte que je devais me perfectionner dans cet art aussi, prometteuse je l’étais, déjà trop belle aussi.
J’avais dix ans quand Mehane est devenue ma grande sœur. Je la suivais partout et l’observais. Sans client, je devais participer aux fêtes données le soir tout en allant à l’école la journée. Je devins une shikomiko, apprentie geisha.

J’aimais ce monde, j’aimais mon art, j’aimais celle que j’étais, sincèrement. Il ne passait pas un jour où je pensais à ma mère ou mon père, mais j’avais une famille. MA famille. Et nous étions heureux. Le seul petit coin sombre était mon insouciance, Mehane disait que j’étais belle à cause de cela, à cause de mon intelligence et de ma capacité à rire toujours et en toute heure.
Lorsque j’eux quatorze ans, vint le moment où mon col rouge de maiko devait être remplacé par le col blanc des geishas confirmées. Le moment aussi du mizuage. Vendre la virginité et la mienne atteint une somme extrêmement surprenante. Si j’étais fière ? oui. Ai-je eu peur ? oui.
Ce fut un homme étranger qui paya cette somme. Il aimait notre pays mais n’en avait pas l’âme. Je le détestais. Quand il me prit je sentis un dégout envahir ma bouche, j’avais mal, envie de vomir. Il devint mon Dana un peu contre ma propre volonté, mais il payait largement ma compagnie et ne me touchait plus. Il s’avéra qu’il était doux et toujours en train de rire. Il était amusant et il me révéla qu’il était d’Ambrosia.
Je me souvins alors de ce prince durant mon enfance et ce monde inconnu, à vingt ans j’excellais en mon monde mais je ne savais rien du reste de l’univers. Il m’apprit.

Ma vie s’écoula paisiblement, Mehane prit la place d’Okasan quand celle-ci mourra. Et je pris sous mon aile une gentille petite un peu indisciplinée mais délicieuse. La vie était simple, belle, j’étais la femme la plus splendide de MahaÏ. Quel titre dérisoire lorsqu’on sait ce qui m’est arrivé quand j’avais vingt sept ans.
Le fils du Dana voulus me connaitre. Réticente je le fus, bien moins lorsque je tombais amoureuse de lui. Il était tendre et doux, il était aimant et il me traitait comme sa compagne. Il voulut me racheter mais Mehane s’y refusa ! Elle refusait de me laisser partir, j’étais la plus belle, la plus demandée, cela aurait été les condamner. Je me sentis coupable, je ne pouvais pas les laisser. Malheureusement je n’allais pas tarder à découvrir que la vie aime à jouer des tours. Mon dana devint fou de savoir l’amour que je portais pour son fils, il me voulait pour lui seul, il ne voulait pas me partager et en vérité il était un homme méchant.
Un soir il organisa une soirée. Je lui faisais confiance, je n’aurais pas dut. L’un des nobles présents ne connaissait rien de mon pays, il pensait que je n’étais qu’une prostituée et lorsque je me refusais à lui, il devint fou. Il y eut une certaine folie qui s’empara des hommes ivres et bien que mon amoureux s’y opposa je fus enfermée dans une pièce. Le noble me maltraita, me défigura, me fit perdre tout ce que j’étais. Il ne me viola pas non, il me fit bien pire, il me punit, déversant sur le dragon, aux creux de mes reins un acide puissant qui me fit hurler et perdre conscience….
Quelques jours plus tard, lorsque je me réveillais, je n’étais plus une geisha. Le fils m’avait emmené loin de mon pays, Mehane m’avait cédé sans argent, elle avait eu si peur de me voir morte qu’elle voulait que je vive ma vie. Mais ma vie n’était plus.

Je sombrais dans l’opium pour calmer cette douleur d’acide, je mourrais à petits feux, je me laissais dépérir. L’amoureux s’occupa de moi comme il le put, mais il ne pouvait rien y faire, ma vie c’était être une geisha, être belle, être admirée mais cela n’était plus.
Il fit son possible cependant, afin de me sortir de tout cela. Nous allâmes vivres à Ambros mais pas à son île principale. Il m’apprit l’ambrosien et à être celle que je suis. Je le laissais faire, tant qu’il me donnait de l’opium.
Et alors quand il jugea que je n’avais plus besoin de lui, quand il comprit que la femme qu’il aimait était morte, il s’en tua de chagrin, par culpabilité, par tristesse. Je ne savais pas ce que j’allais devenir, je voulais être seule, je voulais prendre du poison, mourir comme cela semble si courant dans ce palais. Comme ce Monsieur De Voisin. Et puis je me suis souvenue, l’eau trouve toujours un chemin, respecte les autres comme tu veux qu’ils te respectent. Oui, l’eau allait trouver un chemin.
Je débarquais en Ambrosia après avoir tout appris. La reine était une femme bienveillante et lorsque je me présentais à elle lors d’une séance de doléance, elle fut amusé de mon culot mais me proposa au final de devenir dresseuse royale des hommes. Elle me donna ses ordres un matin avant ce bal tragique et me proposa de venir prendre ma place quand je me sentirais prête.

Il me fallut un peu de temps pour tout comprendre de ce monde mais l’opium m’y aida et me voilà prête désormais à entrer dans ce palais, prendre place dans mon bureau et veiller sur les esclaves masculins. Que les nobles fassent attention, même s’ils deviennent leur jouet, je garderais un œil sur tous ceux dont j’ai la charge et le nom sur le registre. La reine m’a donné carte blanche, j’agirais donc comme je l’entend et si cela ne convient pas aux nobles ils iront se plaindre à qui de droit.

Vous
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Qui vous a amené jusqu'à Ambrosia?:une tordue
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MessageSujet: Re: La décadente La décadente Icon_minitimeJeu 23 Déc 2010 - 21:13

Bonjour et Bienvenue en Ambrosia

    Quelle femme intéressante, vous êtes validée.Pensez à remplir votre carnet dans votre profil bien sûr et je vous crée un bureau dont vous ferez la description, je suis sûre que Damon sera ravie de vous faire visiter les sous sols

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MessageSujet: Re: La décadente La décadente Icon_minitimeJeu 23 Déc 2010 - 21:19

Bienvenue mademoiselle!

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MessageSujet: Re: La décadente La décadente Icon_minitimeVen 24 Déc 2010 - 0:31

Bienvenue!
Dommage, en voilà une que j'aurais bien aimé séduire...

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MessageSujet: Re: La décadente La décadente Icon_minitimeVen 24 Déc 2010 - 0:36

Peut être un jour si j'ai vraiment trop fumé XD mais vraiment ebaucoup XD

Akeko Mayuri
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MessageSujet: Re: La décadente La décadente Icon_minitimeVen 24 Déc 2010 - 0:37

Bienvenue Mademoiselle

Mélusine Duval
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MessageSujet: Re: La décadente La décadente Icon_minitimeVen 24 Déc 2010 - 0:45

Merci Mademoiselle

Akeko Mayuri
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MessageSujet: Re: La décadente La décadente Icon_minitimeVen 24 Déc 2010 - 1:07

Oh, je ne vais pas vous forcer Very Happy
QUe de formalité, mesdames !!

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MessageSujet: Re: La décadente La décadente Icon_minitimeLun 27 Déc 2010 - 12:13

Bienvenue mademoiselle, j'espère que l'opium n'a pas trop altéré vos sens et que vous pourrez profiter de mes parfums...

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MessageSujet: Re: La décadente La décadente Icon_minitime


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