Nom: De Nanstari
Prénom: Léopold
Surnom: /
Age: 18 ans
Sexualité: Hétérosexuel
Métier: Futur duc d'Estalie
Groupe: Esclaves
Rang désiré: Beau parti


Caractère:

e me rappelle encore des paroles de mon père, les bons chiens chassent de race. Longtemps j'avais cru en ces mots car mon père était un homme marqué au bon coin, un homme qui pendant des années a dirigé le duché familial d'une main

de fer dans un gant de velours. J'ai toujours respecté cet homme qu'était mon père et ce jusqu'à sa mort, car il était admirable de le voir diriger le duché pour vous, de comprendre les façons de faire qui l'avaient amené à recevoir les bonnes grâces de tous. Comme chaque fils je voulais qu'il m'admire et qu'il me fasse l'honneur de me léguer les traits de caractère qui allaient m'être utile pour être un bon Duc tout comme lui. Mon père était un homme que le peuple admirait pour son bon sens, son savoir, mais surtout le magnifique sens du devoir qui l'animait. Grâce à lui j'ai trouvé ma place dans ce monde et j'aurais aimé transmettre tout cela à mon fils unique comme mon père l'avait fait pour moi. J'aurais aimé lui faire découvrir pas à pas la voie qu'il allait devoir suivre pour être à notre image, pour savoir comment se comporter pour être respecté de tous, mais j'ai compris qu'il s'en moquait éperdument.

a vérité est que mon fils n'a pas la tête bien cuite et cela me désole. Intelligent, prenant soin à entretenir sa culture, naturellement doué pour fasciner les foules, de par une éloquence proche de la perfection. Toutes les qualités d'un bon

duc aimerait avoir, il les possède, sur ce point l'on pourrait dire qu'il est un fils parfait. En effet il a tout ce qu'il faut pour entrer dans le rôle de mon successeur, mais il se moque éperdument de l'apprentissage nécessaire pour être respecté par tout un peuple malgré ses très bonnes facultés d'apprentissage. Il semble penser que le titre de Duc va lui suffire pour être accepté par tout un peuple... Pendant des années j'ai cultivé l'espoir qu'il change, qu'il devienne plus responsable, mais ce ne fut point le cas. Mon fils est une personne imbue de lui même ne doutant pas de son charisme, dont il sait se servir en toute circonstance. Amoureux des onze mille vierges, mon fils préfère étaler sa culture aux gentes dames qui croisent sa route, les couvrir de présent pour s'attirer leur charme, que de rester à mes côtés pour que je lui offre quelques leçons qu'il trouve futiles et d'un autre âge... Je regrette parfois de ne pas être plus ferme avec lui et tous ses amis à la mode qui pensent que tout leur est déjà acquis, qu'ils n'ont qu'à jouir de leur jeunesse pour hériter des terres et autres faveurs familiales.


Physique:

l faut avouer que je n'ai rien fait pour que cela cesse ou du moins je n'ai pas fait ce que mon père, lui, aurait pu faire. Toute médaille à son revers et j'ai préféré celle de l'amour de mon fils, à ces leçons qu'il me refusait, tout aussi

importantes soient elles. Cette erreur est la mienne et je n'ai trouvé d'autres solutions que d'attendre ses Dix-huit années pour enfin la réparer en vous l'envoyant à Ambrosia comme mon seul et unique héritier. Je prie pour que vous trouviez une maitresse à mon fils qui le reprendra en main et qui ne se laissera pas abuser par ce charme qui émane de sa personne. Je ne saurais dire ce qui fait que ces dames le trouvent aussi attirant, sans doute ce visage expressif qu'il porte si bien. A moins que ce ne soit que ses yeux noisettes qui suffisent à les rendre aussi malléable, ses beaux yeux qu'il cache parfois avec l'une des mèches de sa chevelure d'un brun profond.

êtu comme un oignon, il aime dépenser des fortunes dans les vêtements de bon goût, les associant les uns aux autres de la façon la plus improbable qui soit pour avoir ce que les autres n'auront jamais. Les dames lui trouvent ainsi un charme

non négligeable lorsqu'il revêt certaines de ses créations mettant en avant son corps de jeune premier. Une chemise proche du corps dévoilant un corps fin, une veste de bon goût surmontant à la perfection cette chemise lui offre malgré tout une certaine carrure. Un pantalon assortit vient couvrir ses longues jambes avant de se perdre sur des chaussures parfaitement cirées. Mon fils n'est pas homme à oublier un détail lorsqu'il estime qu'une tâche doit avoir son attention et je ne peux que le féliciter, même s'il use de ce don pour des choses aussi futiles que sa propre apparence. Vous avez déjà pu en juger si vous me lisez à cet instant.


Histoire:

ar ailleurs, je vous fais toutes mes excuses pour le manque évident de courtoisie dont je fais preuve. Le duché d'Estalie est, à l'heure où je vous écris ses lignes, en proie à certains troubles qui requièrent toute mon attention, m'empêchant

de me présentant aux côtés de mon fils, comme les règles de la bienséance le voudraient. Vous savez le respect que j'ai pour la cour, me faisant l'un de ses plus fidèles serviteurs en toutes occasions. J'espère que cela excusera mon absence et n'aura aucune conséquence sur l'avenir de Leopold à Ambrosia. Malgré tous les reproches que j'ai pu lui faire ce n'est pas un mauvais diable, il est tout simplement à côté de la réalité comme nombres de nos enfants. Pour eux tout à toujours été si simple et ce depuis leur naissance... Je ne dis pas qu'il n'en était pas de même pour les personnes de notre génération, mais les temps changent comme certains peuvent le laisser entendre. Nous avons pourtant offert à notre fils une enfance classique et traditionnelle qui avait tout pour faire de lui un parfait successeur.

on épouse engagea, dès son quatrième anniversaire, un précepteur pour inculquer à Leopold les principes de l'éducation que tout noble se doit d'avoir. Lecture, écriture et savoir vivre furent les toutes premières choses que mon

fils dut apprendre et il se montra plutôt doué pour son jeune âge dans ces divers domaines, ce qui me réjouit. Je me rappelle encore du jour où Eliot vint me faire part de ses progrès rapide le comparant à mon défunt père au même âge, vous ne pouvez imaginer ce que cela pouvait signifier pour moi. Avec les années les compliments le concernant ne firent que grandir à mesure qu'il découvrait les divers domaines que tout noble se doit de connaitre. Bien vite il tomba amoureux d'un domaine particulier, n'aimant que peu la danse, il fut conquit par la musique adoptant le piano comme instrument de prédilection, malgré tout le talent qu'il pouvait montrer avec un violon. Rapidement Eliot lui enseigna la poésie, la peinture, l'escrime ainsi que l'art des duels à poudre. Les deux derniers domaines sont des choses qui m'ont toujours tenues à coeur et ce malgré l'arrivée d'armes bien plus perfectionnées, mais sans aucune âme. Leopold se plia à chacun de ces enseignements se découvrant une certaine passion pour l'escrime et le tir. J'étais si fier de lui et des quelques passes que nous échangions dans nos divers duels père et fils.

ourtant tout changea lors de ses quinze ans. Je ne connais toujours pas la cause profonde de ce changement, bien que je puisse imaginer ses nouveaux amis en grande partie responsable. En quelques semaines Leopold ne trouva plus aucun

intérêt à ses leçons préférant délaisser celles-ci pour aller s'acoquiner de quelques demoiselles auxquelles il ne prête que peu d'intérêt finalement. Oui mon fils est amoureux comme un chardon, une chose que je n'accepte pas et qui nous oppose bien souvent, mais mon avis en tant que père glisse sur sa peau sans jamais le toucher. Ses seules préoccupations sont, à ce jour, l'apparence et les impressions qu'il offre aux gens qui lui font face et plus particulièrement aux yeux des belles qui peuplent son entourage. Pour autant malgré tous ses changements il semble toujours attacher une certaine importance à ses diverses passions, ce qui me laisse un espoir de le voir changer à nouveau une fois l'influence de ses amis dissipé. Influence qu'il ne pourra plus avoir de prise sur lui lors de son séjour à Ambrosia.

e vous remercie d'avoir pris sur votre temps pour lire ces quelques mots. Je m'en remets à présent à vous pour toute décision concernant Leopold. Je vous prie de croire, votre altesse, en l'assurance de ma respectueuse considération.

Nom/surnom: Ajira
Avatar: Seth Gabel
Possibilité de prendre votre personnage en pv: Non
Qui vous a amené jusqu'à Ambrosia?: Constance de Nevel
Les mots de passe ont été envoyé?: oui